

Le karaté est un art martial japonais que l’on peut traduire littéralement par « la main vide ». Cet art martial complet regroupe l’art du combat, la pratique de l’autodéfense, fortifie le physique et le mental. Le karaté do utilise les armes naturelles du corps. Nous avons par exemple les mains, coudes, bras, pieds et genoux afin de bloquer les attaques des adversaires. Le karaté est basé sur des principes de respect, de discipline et de contrôle de soi. Il existe de nombreuses écoles et styles de karaté, chacun avec ses propres techniques et philosophies. Le karaté peut être pratiqué à différents niveaux, allant de la simple exercice physique à un art martial à part entière.
Ce livre est porté par la personnalité de son auteur, Gichin Funakoshi, initiateur du karaté au Japon et dans le monde entier. Il est une grande figure des arts martiaux contemporains. Autobiographie sobre qui fonctionne par tableaux courts et riches de sens.
Nous pénétrons dans l’univers du karaté originel et remontons à sa source : l’île d’Okinawa et sa culture
Cet ouvrage suivra le pratiquant de ses débuts aux grades les plus élevés. Tous ces katas sont illustrés par de très nombreux dessins et didactiques. Ils sont présentés avec clarté, rigueur et précision par Roland Habersetzer, un des plus haut gradés hors Japon. Un ouvrage de référence pour connaître les katas qui accompagnera tous les karatékas du style Shotokan lors de leur progression.
Les informations et les conseils indispensables aux deux premières années d’apprentissage. Ce livre est spécialement destiné au débutant en karaté. Ce livre est remarquablement illustré et conçu pour être le compagnon de ses deux premières années d’apprentissage.
Il répond à toutes les questions que le novice peut se poser et présente toutes les techniques qu’il devra maîtriser pour aller jusqu’à la ceinture verte. stade ultime de ce livre.
Livre incontournable pour l’apprentissage du karaté de style Shotokan, Karaté Pratique est, depuis sa toute première parution, le livre de chevet des karatékas et a accompagné la formation de dizaines de milliers de pratiquants dans le monde, par la qualité des conseils, la clarté des illustration et l’éventail des techniques présentés…
Avec ce livre, Hirokazu Kanazawa, reconnu comme « le dernier des grands maîtres japonais« , propose une approche synthétique des bases du karaté, guidant clairement et de façon concise le lecteur à travers les trois sphères de son application (kihon, kata et kumité). Ce livre propose un programme de formation intensif adapté à tous les karatékas jusqu’à l’étape décisive de la ceinture noire.
Ce livre s’adresse particulièrement aux débutants en karaté car il contient les premiers katas indispensables pour les passages de grades jusqu’à la ceinture noire. Les katas sont des enchaînements de mouvements codifiés (un combat imaginaire contre un ou plusieurs adversaires) que tout karatéka doit connaître. Ce livre présente de multiples photos de maître Kasé pour les katas :- Heian Shodan, Nidan, Sandan, Yodan, Godan ainsi que les 2 Tekki
Karaté shotokan contient tout le programme officiel et les connaissances nécessaires pour passer la ceinture noire. Plus de 1100 photos couleurs détaillent chaque technique et chaque kata sous différents angles de vue. La mise en page originale est particulièrement étudiée pour faciliter les apprentissages. L’auteur, Stéphane Fauchard, n’a pas hésité à s’entourer des plus éminents experts et champions français et japonais, tous de fins techniciens qui apportent à ce livre la touche de créativité tirée de l’expérience…
Exercice traditionnel fondamental du karaté, le kihon est vécu, par certains pratiquants, et enseignants, comme un exercice semblant ne conduire à rien de concret pour le combat. Or, le kihon est la structure même du karaté-do. Contrairement à l’idée reçue, le kihon n’est pas seulement un exercice physique, il forme le corps comme l’esprit: concentration mentale, coordination du geste juste, rapidité d’exécution, réflexe, puissance, stabilité, rythme, et bien sûr contrôle de la respiration, de la volonté, du dépassement…
«D’un point de vue historique, le karaté englobe plusieurs styles qui, tous, ont leurs singularités sur le plan pédagogique ; des singularités qui se trouvent de manière manifeste dans les katas.» H. Kanazawa Sensei
Écrit par un des maîtres des plus renommé, élève direct du père du karaté, Gichin Funakoshi, et fondateur du style Shôtôkan, ce livre est un guide exhaustif des katas de karaté.
L’ascension prodigieuse du karaté, depuis les techniques d’autodéfense secrètes développées à Okinawa jusqu’à devenir l’une des traditions martiales japonaises parmi les plus respectées et les plus connues, peut être attribuée à un seul homme – Gichin Funakoshi, le Père du karaté Moderne. Funakoshi se consacra inlassablement, sa vie durant, à diffuser son message de spiritualité, mettant l’accent sur l’importance de gagner sans combattre.
Comment améliorer votre pratique du karaté ?
Ce carnet d’entraînement va vous permettre de conserver vos notes de vos entraînements afin de progresser plus rapidement dans la maîtrise du Karaté.
Vous pourrez ainsi améliorez votre pratique de cet art martial en relisant vos propres notes. Ce carnet sportif est aussi une bonne idée de cadeau pour vos élèves ou vos amis.
Ce journal d’entraînement contient 98 pages pour noter vos objectifs, organiser vos entrainements, votre préparation de grade, votre mindset, mental et motivation.
Au delà d’un sport, le karaté est une excellente école à la vie dans tous les sens du terme. Dès le plus jeune âge, vous y apprenez la motricité, la souplesse et la vie en société. C’est également un très bon moyen de réguler naturellement le surplus d’énergie et de vitalité de certains enfants.
Dans la période de l’adolescence, vous prendrez généralement la voie (facultative) de la compétition. Votre karaté vous apportera d’un point de vue corporel puissance, tonicité, développement musculaire.
D’un point de vu social vous y apprendre le respect de votre adversaire, la maîtrise de vos émotions et l’art d’être combatif et compétitif. En effet, la vie n’est qu’une éternelle compétition.
Vous devez vous battre pour réussir haut la main vos études, puis ensuite pour obtenir votre emploi ou une promotion au sein de votre entreprise… et la liste n’est pas exhaustive.
A l’âge adulte, le karaté sera pour vous une source de bien-être et d’évolution de votre art. Vous accèderez à la ceinture noire puis ensuite et progressivement aux DAN qui seront le reflet de votre progression.
En fonction de votre parcours en compétition, vous choisirez peut-être de devenir enseignant et d’ouvrir votre propre dojo (club).
Vous êtes jeune retraité ? Le karaté est également fait pour vous. Cela peut paraitre surprenant, mais à chaque âge on peut pratiquer « son » karaté. On adapte son karaté à son corps.
Le corps est un formidable outil capable de s’adapter à toutes les situations et qui ne s’use que si on ne l’utilise pas. Le mouvement c’est la vie. Une phrase souvent utilisée en tai chi chuan mais qui est finalement valable pour tous les sports.
Gichin Funakoshi est largement considéré comme le premier «père» du karaté moderne en raison de ses efforts pour introduire l’art d’Okinawa au Japon continental, d’où il s’est répandu dans le monde entier. Né en 1868, il commence à étudier le karaté à l’âge de 11 ans et étudie .
Il est devenu si compétent qu’il a été initié à tous les principaux styles de karaté à Okinawa à cette époque. Pour Maître Funakoshi, le mot karaté a finalement pris un sens plus profond et plus large grâce à la synthèse de ces nombreuses méthodes, devenant ainsi karaté-do, littéralement la «voie du karaté» ou de la main vide. La formation au karaté est devenue une éducation pour la vie elle-même.
Maître Funakoshi a été le premier expert à introduire le karaté-do au Japon continental. En 1916, il donna une démonstration aux Butokuden de Kyoto, au Japon, qui était à cette époque le centre officiel de tous les arts martiaux.
Le 6 mars 1921, le prince héritier, qui deviendra plus tard l’empereur du Japon, se rendit à Okinawa et Maître Funakoshi fut invité à faire une démonstration de karaté.
Au début du printemps 1922, Maître Funakoshi se rendit à Tokyo pour présenter son art à la première exposition sportive nationale organisée à Tokyo par le ministère de l’Éducation.
Plusieurs groupes et personnalités éminents l’ont vivement encouragé à rester au Japon. En effet, il n’est jamais revenu à Okinawa.
Maître Funakoshi n’a enseigné qu’une méthode, une discipline totale, qui représente une synthèse des styles de karaté d’Okinawa. Cette méthode fut connue sous le nom de Shotokan, littéralement le clan ou la maison de Shoto, qui était le pseudonyme du Maître pour sa poésie, désignant le son du vent soufflant à travers les pins.
La pratique du karaté profite au pratiquant dans tous les domaines de sa vie. Ce n’est pas une fin, mais un moyen d’atteindre une fin. Le karaté encourage la maîtrise et la coordination de l’esprit et du corps. C’est une activité dans laquelle l’âge n’est pas un obstacle. Pour preuve, tous les grands maîtres ont plus de 70 ans.
Le vrai karaté est le suivant: dans la vie quotidienne, l’esprit et le corps doivent être entraînés et développés dans un esprit d’humilité et, dans les moments critiques, consacrés à la cause de la justice. – Gichin Funakoshi
La pratique du karaté renforce l’esprit, développe le calme, un processus de pensée plus clair, une compréhension plus profonde des capacités mentales, et une plus grande confiance en soi.
Il renforce le corps tout entier, améliore la coordination, accélère les réflexes, renforce l’endurance et la santé en général.
Il valorise la courtoisie, l’intégrité, l’humilité, la justice, l’honneur et la maîtrise de soi.
Le karaté peut également être décrit comme un art martial ou une méthode de combat faisant appel à diverses techniques, notamment les blocages, les esquives, les attaques et les manipulations articulaires comme pour l’Aïkido. La pratique du karaté est divisée en trois aspects: kihon (bases), kata (formes) et kumite (combat).
Le mot karaté est une combinaison de deux caractères japonais: kara, qui signifie vide, et té, qui signifie main; ainsi, karaté signifie «main vide». Ajouter le suffixe «-do» , qui signifie «voie», c’est-à-dire karaté-do, implique que le karaté est un mode de vie qui va bien au-delà des applications d’autodéfense. Dans le karaté traditionnel, nous gardons toujours à l’esprit que le véritable adversaire est soi-même.
Le fondateur du Shotokan, Gichin Funakoshi, a déclaré que «l’esprit et la technique doivent devenir un pour le vrai karaté». Nous nous efforçons de faire de nos techniques physiques une pure expression de l’intention de notre esprit afin d’améliorer la concentration de notre esprit en comprenant l’essence des techniques physiques.
En améliorant notre pratique du karaté, nous perfectionnons notre propre esprit ou notre propre mentalité. Par exemple, éliminer les mouvements faibles et indécis dans notre karaté aide à éliminer la faiblesse et l’indécision dans notre esprit – et vice versa.
C’est dans ce sens que le karaté devient un mode de vie, alors que nous essayons de devenir des personnes très fortes mais heureuses et pacifiques. Comme l’a expliqué Tsutomu Ohshima, instructeur en chef ou shihan du Shotokan Karate of America, «nous devons être assez forts pour exprimer notre véritable esprit à tout adversaire, à tout moment et en toutes circonstances. Nous devons être assez calmes pour nous exprimer humblement.
Un cours de karaté se pratique dans une tenue qui est propre à ce sport. L’élevé est vêtu d’un karategi plus communément appelé « kimono » et d’une ceinture de couleur définissant son grade.
L’ordre des ceintures de couleurs représente l’évolution du karatéka. Le total débutant sera ceinture blanche, puis après quelques mois de pratique pour accéder à la ceinture jaune. Les ceintures suivantes sont l’orange, la verte, la bleue, la marron.
Ces ceintures de couleur sont attribuées au club par le professeur de karaté qui organisera un passage de grade afin de mesurer l’évolution de l’élève. Ce n’est qu’à l’issue du passage de grade qu’il attribuera ou non, la ceinture du niveau supérieur.
Une fois le plus haut grade obtenu au niveau du club, le karatéka aura au minimum 1 an pour préparer sa ceinture noire 1er Dan. Le passage de grade pour la ceinture noire est organisé par la ligue régionale de karaté. Le karatéka sera convoqué par la fédération de karaté et devra présenter son programme face à une table de 3 jury.
Le programme d’un passage de grade correspond en général à un cours de karaté complet qui comprend:
1) Un échauffement d’environ 15 minutes, un peu de musculation et quelques étirements.
2) Des kihons : techniques de déplacement simple ou par enchainement. Attaques, blocages, esquives.
3) Ipon-Kumité : travail en binôme de blocages et ripostes codifiés.
4) Katas : un kata est un combat imaginaire entre un ou plusieurs adversaire. C’est un travail codifié qui doit impérativement respecter « l’héritage » que les maîtres (senseï) nous ont transmis générations après générations.
5) Bunkaï : c’est la mise en applications du kata avec partenaire.
6) Kumités conventionnels : techniques d’attaques et ripostes sur partenaires avec pour but principale de gérer la distance de combat entre chaque adversaire. Ce travail est à mi-chemin entre l’ipon-kumité et le combat libre.
7) Ju-kumités : combat libre avec protections de préférence (gants et protèges-pieds)
Histoire de varier un peu les cours, certains clubs proposent un peu de self-défense en y intégrant des techniques d’aïkido (dégagement d’une saisie, d’un étranglement, clés de bras) quelques armes comme l’utilisation du tonfa ou du bô (bâton)
La compétition en karaté est l’une des principales motivations des jeunes karatékas. En effet, quoi de plus stimulant que de pouvoir accéder à des podiums et faire ainsi la fierté de votre famille et de vos amis.
La fédération de karaté compte parmi ses adhérent environ en 2017, 250 000 personnes sur toute la France, ce qui est particulièrement petit au regard de la fédération française de football qui compte par exemple 2 150 000 licenciés en 2018.
De ce fait, il est bien plus facile de devenir champion de France de karaté que d’accéder à la D1 de football.
Attention cependant, parce que devenir un bon compétiteur nécessite beaucoup d’opiniâtreté, d’effort et de volonté. On pratique avant tout le karaté pour son école à la vie, et pour perpétrer les traditions enseignées par nos maîtres. La compétition n’est qu’une voie qui connait rapidement ses limites une fois les 30 ans passés.
Deux types de compétition
La compétition la plus connues et probablement la plus véhiculée par les médias est le combat. Mais il existe aussi la compétition des katas en individuel ou en équipe de trois.
Admirez la précision du geste et la puissance que met Luca Valdesi dans l’application du kata Jion.
La compétition en combat remporte un franc succès et principalement en France qui est le second pays le plus titré au monde, juste derrière le Japon.
Depuis de nombreuses années, de grands noms du karaté se sont succédé sur nos tatamis.
Une des récentes légende du karaté actuel est Rafael Aghayev qui réalise en compétition des techniques incroyables, je vous laisse apprécier avec la vidéo ci-dessous.
Un combat de karaté peut être gagné de différentes manières:
– En ayant plus de points que votre adversaire à l’issue du combat.
– En obtenant le premier huit points, le match est alors terminé
– Si vous rendez votre adversaire abandonne ou est incapable de continuer
– Si votre adversaire est disqualifié.
A noter que si le nombre de points est égal à la fin, l’arbitre et les trois juges se consultent et décident du vainqueur entre eux.
Le Karaté a pour but de vaincre votre adversaire en utilisant des coups de poing, des coups de pied et des balayages pour marquer des points. À la fin d’un kumite (combat) de karaté, le compétiteur avec le plus de points est déclaré vainqueur (ou avant la fin s’il totalise le premier huit points sur son adversaire).
En plus d’être une activité physique combative, le karaté nécessite d’être très habile et tactique, et tous les compétiteurs doivent posséder un haut niveau de compétences, d’expérience, de rapidité et de dextérité pour réussir dans la compétition de karaté.
Les concurrents sont classés dans des catégories en fonction de leur poids et de leur âge dans le cas des compétitions juniors.
Tous les compétiteurs dans les compétitions de karaté doivent porter une kimono de karaté traditionnelle connue sous le nom de karategi, qui doit être simple et sans rayures ni broderies. Au lieu de porter la couleur de la ceinture qui correspond à leur rang, l’un des candidats porte une ceinture rouge et l’autre une ceinture bleue pour les distinguer.
Les autres pièces d’équipement sont:
– Des protèges poings
– Des protèges pieds et tibias – Protection du corps (et protection de la poitrine supplémentaire pour les femmes)
– Protège dents
– Un coquille (pour les hommes)
Cookie | Durée | Description |
---|---|---|
cookielawinfo-checbox-analytics | 11 months | This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Analytics". |
cookielawinfo-checbox-functional | 11 months | The cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Functional". |
cookielawinfo-checbox-others | 11 months | This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Other. |
cookielawinfo-checkbox-necessary | 11 months | This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookies is used to store the user consent for the cookies in the category "Necessary". |
cookielawinfo-checkbox-performance | 11 months | This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Performance". |
viewed_cookie_policy | 11 months | The cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin and is used to store whether or not user has consented to the use of cookies. It does not store any personal data. |